S’organiser, en comités communaux, en groupes actifs de « pression », semble la piste la plus plausible ,lorsque la commune de votre choix pour y installer un habitat léger n’a pas encore pris l’initiative de mettre des terrains communaux à votre disposition.
S’organiser en groupes , de manière communale ou provinciale, semble la meilleure façon pour obtenir gain de cause, c 'est à dire, des « territoires » officiels afin d’y installer divers habitats légers, ceci, sans avoir à devenir propriétaire terrien.
Une fois organisés, ces groupes auraient à démarcher les communes dans lesquelles souhaitent s’installer, leurs membres.
Un démarchage facilité par l’exemple existant à ce jour (par exemple , Tintigny; Un dossier , adapté à la commune visée serait alors introduit auprès de l 'autorité locale compétente , et suivi par ses introducteurs.
Reste aux groupes locaux, ainsi formés ,à promouvoir chez leurs décideurs locaux , ce type de « location » de terrain ,inspiré par le modèle du « community land trust ».
Les arguments pour se faire sont innombrables, allant de l 'équité en matière de logement ,à la quasi nullité de l 'empreinte écologique de ce mode d 'habitat.
Le cas de Tintigny est particulier en ce que le principal instigateur en est le bourgmestre lui-même (de la même famille politique que celle ayant défendu la loi sur l’habitat léger).
Rien , dés lors, n’empêche des groupes citoyens défendant l 'habitat léger, de « militer » localement pour accéder à ce type d’arrangement officiel dans les communes que ceux-ci visent .
A vos comités .
J.MARTIN-COMITE LIEGEOIS DEFENSE HABITAT LEGER
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